Pour l’ancien pilote italien, voir le pilote turc en MotoGP “était certainement une option” après le niveau qu’il a montré en Superbike, et pour lui “il aurait été logique pour Yamaha de signer un pilote intéressant et talentueux comme Toprak pour le MotoGP. J’étais presque sûr que cela se produirait. Mais je me suis trompé, il n’y a pas que Yamaha qui a été surpris lorsque Toprak a signé avec BMW pour le SBK”, admet aujourd’hui le patron de l’équipe LCR.

Lucio pensait aussi qu’en 2024, Rins serait de retour dans son box, “c’était le plan”, dit-il maintenant, rappelant que l’Espagnol “avait un contrat de deux ans avec le HRC” qu’il ne pouvait rompre unique “s’il recevait une offre d’une équipe officielle de MotoGP”, et c’est à ce moment-là que Yamaha s’est présenté.
Cecchinello est reconnaissant de la façon dont Rins et son manager ont géré toute l’affaire, en étant toujours transparents et en ne lui cachant aucune information : “Son manager a toujours été très honnête et m’a dit : “La seule option serait de passer à Yamaha. Car toutes les autres équipes d’usine n’avaient pas de place disponible, mais chez Yamaha, l’avenir de Morbidelli était incertain”, raconte Lucio.

Après avoir appris que Rins ne serait pas disponible pour 2024, le LCR Honda Team a agi rapidement en coulisses, en convainquant Johann Zarco de rejoindre leur projet, bien que le Français ait une offre de renouvellement sur la table de PRAMAC Racing pour une saison il a préféré choisir le team LCR avec qui il avait eut une bonne relation et Johann avait fait sensation lors de son passage express après son départ de KTM.

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