Ces derniers jours il avait de nombreuses spéculations sur l’avenir de Fabio pour les prochaines saisons, entre la piste Aprilia dont nous vous avions parlé, une piste chez Ducati ou rester chez Yamaha et finalement le pilote français à choisit, mais à quel prix.
Le chèque, argument de poids pour la prolongation de Quartararo
Si les garanties techniques offertes par l’équipe dirigée par Bartolini ont joué un rôle dans la prolongation de Fabio Quartararo chez Yamaha, le chéquier a également été un argument de poids. Le nouveau contrat du Niçois, avoisinant les 12 millions d’euros, représente plus du double du salaire de base de Pecco Bagnaia chez Ducati, primes de performance exclues. Même en cas de troisième titre consécutif, l’Italien ne toucherait pas autant, faisant de Quartararo le pilote le mieux payé du plateau.
Des alternatives limitées et moins lucratives
Quartararo n’avait pas beaucoup d’autres options, et toutes auraient impliqué une baisse de ses revenus. Aprilia semblait être la meilleure alternative, ayant entamé des discussions avec le Français ces derniers mois. “Nous voulons des pilotes engagés dans notre projet. Nous savons que nous avons une moto capable de se battre pour le titre mondial“, a déclaré Massimo Rivola, PDG de la division compétition d’Aprilia.
Aprilia : une moto prometteuse mais un budget limité
L’écurie italienne n’avait pas les moyens de rivaliser avec Yamaha sur le plan financier. La RS-GP a connu une croissance fulgurante ces dernières années, avec notamment la victoire de Maverick Viñales au Portugal. Aprilia a également modernisé ses structures internes et sa dynamique de travail, devenant l’une des équipes les plus innovantes du paddock. Cependant, son offre pour Quartararo ne dépassait pas les quatre millions d’euros, soit moins d’un tiers de la proposition de Yamaha.
Ducati, KTM et Honda : des portes fermées ou peu attractives
Chez Ducati, les places sont chères avec Martin, Marquez et les autres pilotes actuels. Quartararo aurait dû se contenter d’une équipe satellite, avec les inconvénients financiers et de statut que cela implique.
KTM n’offrait pas de meilleures perspectives, surtout après l’arrivée fracassante de Pedro Acosta, sur lequel le groupe autrichien compte pour l’avenir.
Quant à Honda, la situation est encore plus délicate que chez Yamaha. La marque japonaise semble enfermée dans une spirale négative, sans れる signe de progrès.
Pour faire simple, Yamaha a mis le prix fort pour conserver Fabio Quartararo, lui offrant un salaire record et lui garantissant un environnement stable pour continuer à se battre pour le titre ce que Fabio à accepté, espérons pour lui qu’il ai fait le bon choix car même si il est jeune les saisons passent et d’ici la fin du nouveau contrat il sera bien plus agé et si il ne performe pas il se pourrait bien qu’il soit dans une impasse sportive.
